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Aujourd’hui, avec son centre reconstruit plusieurs fois depuis l’époque coloniale, l’intérêt majeur réside de la ville dans les communautés de plage au sud du centre-ville plutôt que dans les bâtiments et les monuments de Rio. Durant environ 60 ans, les quartiers des plages de Copacabana, Ipanema et Leblon furent le cœur et l’âme de la ville de Rio, procurant une source constante de loisirs afin de maintenir la renommée de la ville en tant que capitale touristique la plus dynamique et captivante en Amérique du Sud.
Aujourd’hui, avec son centre reconstruit plusieurs fois depuis l’époque coloniale, l’intérêt majeur réside de la ville dans les communautés de plage au sud du centre-ville plutôt que dans les bâtiments et les monuments de Rio. Durant environ 60 ans, les quartiers des plages de Copacabana, Ipanema et Leblon furent le cœur et l’âme de la ville de Rio, procurant une source constante de loisirs afin de maintenir la renommée de la ville en tant que capitale touristique la plus dynamique et captivante en Amérique du Sud.
Des bâtiments multicolores entourent la place Pelourinho, les rues étroites et pavées, un marché coloré et les nombreuses églises en font un centre historique pittoresque et fascinant. Vers l’embouchure de la baie se trouve la zone la plus récente, avec des gratte-ciel et des maisons raffinées construites durant le siècle dernier. Plus loin, à Porto da Barra, se trouvent les meilleures plages de la ville, les bars et les restaurants. À l’embouchure de la baie se dresse le Fort de San Antonio, construit à l’endroit où Amerigo Vespucci est arrivé en 1501. La route qui longe le bord de mer passe le célèbre phare et mènent aux nouvelles banlieues de Salvador le long d’une chaîne de plages de sable doré.
Des bâtiments multicolores entourent la place Pelourinho, les rues étroites et pavées, un marché coloré et les nombreuses églises en font un centre historique pittoresque et fascinant. Vers l’embouchure de la baie se trouve la zone la plus récente, avec des gratte-ciel et des maisons raffinées construites durant le siècle dernier. Plus loin, à Porto da Barra, se trouvent les meilleures plages de la ville, les bars et les restaurants. À l’embouchure de la baie se dresse le Fort de San Antonio, construit à l’endroit où Amerigo Vespucci est arrivé en 1501. La route qui longe le bord de mer passe le célèbre phare et mènent aux nouvelles banlieues de Salvador le long d’une chaîne de plages de sable doré.
Cette ville aux toits de tuiles rouges est la capitale de l’État de Ceará et l’une des plus grandes villes du nord-est du Brésil. Elle est l’un des principaux centres de commerce du Brésil avec une population de près de deux millions d’habitants. Fortaleza a émergé après des moments difficiles provoqués par la sécheresse des années 1980 et a bâti sa réputation internationale en tant qu’un des points centraux de la mode mondiale. L’aménagement original des rues de Fortaleza a été conçu par un architecte français du XIXème siècle qui rêvait d’en faire la Paris du nord du Brésil. Aujourd’hui, les zones commerciales, administratives et religieuses de cette métropole animée sont toujours clairement définies. Ces dernières années, de grands progrès ont été effectués dans le développement du tourisme et de nombreux hôtels de luxe parsèment la côte turquoise. Les amateurs de shopping pourront s’élancer dans le Ceará, où ils découvriront l’artisanat régional, allant des meubles en osier, des hamacs en macramé et des paniers de paille à la céramique, dentelles délicates faites à la main et la broderie brésilienne convoitée.
Le premier peuplement de Santarém fut une mission jésuite envoyée en 1661. Les débarquements suivants étaient composés de groupe de réfugiés confédérés. Ils sont venus à Santarém après la guerre de Sécession américaine, dans l’espoir de créer un nouvel état d’esclavage. Peu d’entre eux sont restés très longtemps, mais ils ont laissé leur marque dans certains noms de famille et dans le commerce. Dans les années 1920, pendant le boom du caoutchouc, Henry Ford a dépensé 80 millions de dollars pour établir une plantation de caoutchouc énorme pour répondre à l’énorme demande de la production de pneus automobile. Le projet s’est terminé en désastre quand beaucoup de ses ouvriers décédèrent de la malaria et Ford réalisa qu’il y avait trop d’obstacles à surmonter.
Au fil des années, Santarém devint l’un des centres commerciaux de la région les plus importants. Aujourd’hui, c’est la troisième plus grande ville de l’Amazonie après Manaus et Belém. L’une des principales attractions de Santarém est la «rencontre des eaux», où les eaux cristallines bleues du côté de Rio Tapajos circulent côte à côte avec l’Amazone boueux brun sans pour autant se mêler (phénomène semblable aux fleuves Negro et Solimões près de Manaus).
Comme points d’intérêt on trouve le Musée de la municipalité avec des exposition de poterie faites par les Indiens Tupai, le marché municipal et la Casa da Farinha, une ancienne fabrique de farine de manioc, où des démonstrations sont faites expliquant la manière d’extraire le latex de l’hévéa. Autour de Santarem on trouve des lacs et des forêts luxuriantes où vivent de nombreuses espèces d’oiseaux.
Votre arrivée dans le port offre déjà un bon avant-goût des couleurs locales. De nombreux bateaux de rivière sont attachés le long de la jetée, certains d’entre eux déchargeant de la marchandises et des récoltes, d’autres assurant le transport de la population locale vers les communautés riveraines couvrant un périmètre de plus de 320 kilomètres, ainsi que des services interurbains vers Manaus et Belém.
Située entre Santarém et Manaus, la Boca de Valeria est l’entrée du canal de Valeria (boca signifiant bouche). Le canal mène au lac Valeria, qui marque la frontière entre les États d’Amazonas et du Pará. Pendant que le bateau est à l’ancre, une image colorée se déroule alors que des canoës avec la population locale viennent à la rencontre du bateau, ce qui ajoute à l’excitation de votre expérience de l’Amazonie. Il n’existe pas d’installations permettant d’organiser des excursions.
Si les conditions le permettent, l’annexe du navire peut vous emmener dans l’un des villages typiques de Caboclo (habitants du fleuve) pour vous donner un aperçu du mode de vie traditionnel des indigènes. Vous pourrez y voir des singes et des serpents, ainsi qu’une sélection d’objets d’artisanat local. La tenue recommandée est un coton léger. Une protection solaire et un répulsif pour les insectes sont également indispensables.
En tant que port fluvial, Manaus offre un spectacle inoubliable. Bien que les véritables attractions se trouvent dans les forêts environnantes et ses affluents, l’attraction la plus célèbre de la ville est sans aucun doute l’imposant Teatro Amazonas. Achevé en 1896 après 17 ans de construction et pour un coût de plus de 2 millions d’euros, l’Opéra de Manaus a récemment subi un long programme de restauration et il brille à nouveau avec toute sa splendeur originelle. Il y a aussi plusieurs musées intéressants avec des expositions destinées à donner un aperçu de la vie humaine et de l’écologie de la région amazonienne.
En tant que port fluvial, Manaus offre un spectacle inoubliable. Bien que les véritables attractions se trouvent dans les forêts environnantes et ses affluents, l’attraction la plus célèbre de la ville est sans aucun doute l’imposant Teatro Amazonas. Achevé en 1896 après 17 ans de construction et pour un coût de plus de 2 millions d’euros, l’Opéra de Manaus a récemment subi un long programme de restauration et il brille à nouveau avec toute sa splendeur originelle. Il y a aussi plusieurs musées intéressants avec des expositions destinées à donner un aperçu de la vie humaine et de l’écologie de la région amazonienne.
The small village of Parintins lies on Tupinambarana Island, which is part of a large river archipelago in the mid-Amazon, 250 miles east of Manaus. In existence for two centuries, Parintins is rich in Indian culture that is represented in the celebrated annual Boi-Bumba festival. It is a ritual of magic, mystery, passion and faith that has been held here for over 80 years, inspired by local legends. View less A stadium, the Bumbódromo, was built in 1988 to accommodate the over 40,000 spectators that come and take part in this festival each year. The Boi-Bumba is listed on the official Calendar of Events to be one of the highlights in Amazonas State. As a special treat, Silversea has arranged an exclusive performance, enacting the show for you with all the exuberance and vibrancy normally displayed in the real Parintins festival.
Le premier peuplement de Santarém fut une mission jésuite envoyée en 1661. Les débarquements suivants étaient composés de groupe de réfugiés confédérés. Ils sont venus à Santarém après la guerre de Sécession américaine, dans l’espoir de créer un nouvel état d’esclavage. Peu d’entre eux sont restés très longtemps, mais ils ont laissé leur marque dans certains noms de famille et dans le commerce. Dans les années 1920, pendant le boom du caoutchouc, Henry Ford a dépensé 80 millions de dollars pour établir une plantation de caoutchouc énorme pour répondre à l’énorme demande de la production de pneus automobile. Le projet s’est terminé en désastre quand beaucoup de ses ouvriers décédèrent de la malaria et Ford réalisa qu’il y avait trop d’obstacles à surmonter.
Au fil des années, Santarém devint l’un des centres commerciaux de la région les plus importants. Aujourd’hui, c’est la troisième plus grande ville de l’Amazonie après Manaus et Belém. L’une des principales attractions de Santarém est la «rencontre des eaux», où les eaux cristallines bleues du côté de Rio Tapajos circulent côte à côte avec l’Amazone boueux brun sans pour autant se mêler (phénomène semblable aux fleuves Negro et Solimões près de Manaus).
Comme points d’intérêt on trouve le Musée de la municipalité avec des exposition de poterie faites par les Indiens Tupai, le marché municipal et la Casa da Farinha, une ancienne fabrique de farine de manioc, où des démonstrations sont faites expliquant la manière d’extraire le latex de l’hévéa. Autour de Santarem on trouve des lacs et des forêts luxuriantes où vivent de nombreuses espèces d’oiseaux.
Votre arrivée dans le port offre déjà un bon avant-goût des couleurs locales. De nombreux bateaux de rivière sont attachés le long de la jetée, certains d’entre eux déchargeant de la marchandises et des récoltes, d’autres assurant le transport de la population locale vers les communautés riveraines couvrant un périmètre de plus de 320 kilomètres, ainsi que des services interurbains vers Manaus et Belém.
You wouldn’t know it, as you approach the soft sands and gently waving weave of palm trees, but this tropical paradise once stashed away some of France’s most notorious criminals. Home to one of history’s most remote and brutal penal colonies, Ile Royale is one of three – somewhat ironically named – Salvation Islands. The neighbouring Devil’s Island’s title offers some honest insight into how these islands were previously thought of. View less Nowadays, you’ll discover a heavenly escape of tropical beaches, and jungle reclaiming the island from the prison’s imprint and cleansing its dark history within a cloak of verdant green. The setting for Steve McQueen’s Papillon, and indeed the 2017 remake, the films tell the story of Henri Charriere’s attempted escapes from these notoriously impossible to leave islands, which lie seven miles offshore from French Guiana. Unravel the stories for yourself, as you explore the ruins that have been left behind. Wander to the chapel that was constructed by prisoners, as well as the island’s hospital and staff quarters. There’s incredible wildlife among the penal colony’s ruins too. Cute agouti sniff tentatively at fallen coconuts, vast sea turtles lounge around, squirrel monkeys clamber up through the vegetation, and giant iguanas bask in the sun’s glow. Wander the path that loops around the island’s circumference to spot them, and to discover the lay of the land. Now administered by the French equivalent of NASA, CNES, the islands are occasionally cleared, as rocket launches roar up into the sky overhead.
La plus orientale des îles des Caraïbes, la Barbade se tient comme une sentinelle accueillante à l’entrée des Antilles. L’île a été pendant des siècles la première escale pour les explorateurs qui s’aventuraient vers l’ouest, en commençant par les navigateurs espagnols et portugais qui débarquèrent à la Barbade dans les années 1500 à la recherche d’or et de richesses. Au lieu de cela ils trouvèrent une île dense en végétation habitée par une petite population d’Amérindiens, dont certains furent capturés et emmenés vers d’autres îles pour servir d’esclaves. Bien que les Ibériques aient choisi de ne pas s’installer sur l’île, ils lui attribuèrent tout de même un nom, Los Barbados (les «barbus»), qui est généralement considéré comme dérivé des racines aériennes des Figuiers barbus.
Barbade attire de nombreux visiteurs grâce à sa grande beauté naturelle, ses terres variées et ses monuments historiques. Elle dispose de 1500 kilomètres de plages immaculées, une côte atlantique sauvage, des vallées fertiles, des maisons de plantations distinguées, des stalactites dans ses grottes, une vie sauvage préservée ainsi que des jardins tropicaux charmants. La capitale de l’île, Bridgetown, est l’un des principaux ports des Caraïbes, bouillonant d’activité.
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