Glaciers et passage intérieur de l’Alaska

The humble beginnings of the City of Vancouver, in the settlement of Gastown on Burrard Inlet, rose out of the old growth forests and the sawdust of the old Hastings Mill. Its location between the Pacific Ocean and the snow-capped coastal mountains creates one of the most idyllic settings of any city in the world. As a world-class city it has the best of both worlds, intermingling urban sophistication with a sense of wilderness and outdoor adventure. Whether you are exploring Vancouver’s diverse downtown core, strolling through the giant trees of Stanley Park or taking in the 20 miles (30 km) of uninterrupted waterfront trails along the seawall, you are bound to fall in love with Canada’s third largest metropolitan center, which is consistently ranked as one of most livable cities on earth. In 1886, the Canadian Pacific Railway reached Vancouver, completing Canada’s ‘National Dream’ of a connection between east and west, and opening up new trade routes between Asia and Europe. The city was named for British captain and explorer George Vancouver.

Le goulet de Seymour est un tronçon de 3 miles/5 km du Discovery Channel au nord de l’île de Vancouver, en Colombie-Britannique, qui est réputé pour la force des courants de marée qui le traversent. La largeur moyenne du goulet n’est que de 750 mètres. Lors des marées extrêmes, le courant qui traverse le goulet est soumis à un important effet Venturi, ce qui se traduit par une vitesse accrue pouvant atteindre 15 nœuds. Pendant la majeure partie de son histoire moderne, le détroit présentait un danger supplémentaire, le Ripple Rock, une obstruction peu profonde qui a coûté la vie à pas moins de 119 navires et 114 personnes. En 1958, après des mois de creusement de tunnels et de préparation, Ripple Rock a été soufflé lors de la plus grande explosion commerciale non nucléaire jamais enregistrée en Amérique du Nord. La navigation dans le goulet de Seymour dépend toujours des marées et d’autres conditions, et exige des compétences et des prouesses techniques.

Le détroit de la Reine-Charlotte se situe entre le détroit de la Reine-Charlotte, qui serpente entre l’île de Vancouver et la partie continentale de la Colombie-Britannique au sud, et le détroit d’Hécate, qui se trouve au nord, à côté des îles Haida Gwaii, au large de la côte pacifique de la Colombie-Britannique. Il s’agit d’un large tronçon de la longue route maritime appelée Inside Passage, qui traverse la myriade d’îles s’étendant de Puget Sound, dans l’État de Washington, jusqu’à l’Alaska.

Ketchikan is a picturesque coastal town with a colorful frontier history, standing at the southern entrance to Alaska’s famed Inside Passage. It began as a salmon cannery in 1885, built by company employee Mike Martin at the mouth of Ketchikan Creek. Once dubbed the ‘Canned Salmon Capital of the World,’ today government, commercial fishing, and tourism are its main industries. The renowned Creek Street, perched on stilts along the mouth of the creek, would bring lasting infamy to the area for the red-light district that burgeoned there during the Gold Rush. The town’s site first served as a camp for Tlingit people, and for thousands of years this has been their home. Their rich culture is being preserved to this day. A visit to Ketchikan is not complete without visiting one or all of Native American sites such as Totem Bight State Park, Potlatch Park, Saxman Native Village and the Totem Heritage Center. Together, these locations comprise the world’s largest collection of standing Native American totem poles. VIEW CRUISES

Dans le passage entre le détroit de Sumner et le détroit de Clarence dans l’archipel d’Alexander au sud-est de l’Alaska, à mi-chemin entre l’île Price of Wales à l’ouest et l’île Zarembo à l’est, se trouve un petit groupe d’îles avec un passage pittoresque entre elles appelé Snow Pass. Il s’agit d’un passage pittoresque entre les îles, appelé Snow Pass, qui permet à votre navire Seabourn de s’approcher au plus près pendant la traversée.

Le passage Decision est l’extrémité ouest du détroit de Sumner, qui traverse l’archipel Alexander pour se jeter dans l’océan Pacifique au sud-est de l’Alaska. Il est délimité au nord par l’île Kuiu et le cap Decision, où se trouve un phare datant de 1932. C’est la route qu’emprunte votre navire en provenance ou à destination de la ville historique et colorée de Sitka, sur la côte ouest de l’île Baranof, qui était à l’origine la ville forteresse russe de New Archangel.

Une promenade dans les rues et le parc historique national de Sitka permet d’avoir un aperçu de son passé unique et coloré. Un mélange de cultures tlingit et russe définit cette première capitale de l’Alaska. Bien que la mise en conserve du poisson et l’extraction de l’or aient été les premiers catalyseurs de la croissance de Sitka, la construction d’une base aérienne pendant la Seconde Guerre mondiale a véritablement ouvert la voie à l’essor de Sitka. L’une des structures les plus intrigantes de Sitka est la cathédrale Saint-Michel, construite en 1848 en l’honneur d’un évêque orthodoxe russe. L’histoire de Sitka commence il y a des milliers d’années avec le peuple Tlingit et son utilisation de la terre pour la subsistance et la spiritualité. L’ancienne Sitka, située juste au nord de l’actuelle colonie, a été fondée en 1799 par Alexander Baranov, commerçant de la Compagnie russo-américaine. D’abord appelée Novo-Arkhangelsk (Nouvel Archange) sous la domination russe, elle a été rebaptisée Sitka après l’achat de l’Alaska par les États-Unis en 1867. Sitka est un mot tlingit qui signifie « au bord de la mer ».

La baie de Yakutat, large de 29 km à son entrée, passe du golfe de l’Alaska à la baie du Désenchantement, porte d’entrée de l’immense glacier Hubbard, le plus grand glacier de marée d’Amérique du Nord. À mesure que la baie se rétrécit et que les rivages se rapprochent, la face du glacier, haute de 122 mètres, exerce une présence lumineuse et fantomatique, que l’on aperçoit souvent à une distance de 48 km. De plus en plus de glaces flottantes forment des fossettes à la surface de l’eau, et les phoques surgissent et disparaissent à nouveau. L’air froid du glacier s’écoule dans un courant descendant qui donne naissance à des brumes et à des nuages gris, à travers lesquels le bleu vif du mur de glace scintille. C’est un spectacle impressionnant de l’immense travail brut de la nature, qui façonne la terre elle-même dans le cadre d’un cycle sans fin d’évaporation de l’eau de la mer vers le ciel, de chute de neige sur les hauteurs et de retour à la mer au fil des siècles.

Le glacier Hubbard est le plus grand et l’un des plus spectaculaires glaciers de marée d’Amérique du Nord. Ses falaises de glace, d’une hauteur de 121 m, déversent des icebergs dans le fjord, qui peuvent souvent être plus grands qu’un immeuble de cinq étages. La surface du glacier est plissée et déformée, ressemblant à la peau ridée d’un éléphant géant. Les archives montrent qu’il s’épaissit et avance depuis 1895. Cela contraste fortement avec les autres glaciers du monde entier, dont la plupart ont reculé au cours du siècle dernier. En 2002, le glacier a bloqué le fjord Russell pendant deux mois et demi, faisant monter le niveau de l’eau de 18 mètres et menaçant les communautés locales d’inondations. Les eaux riches en nutriments le long de la face du glacier attirent de nombreuses espèces. Des colonies de mouettes et de goélands ornent les petites îles et les phoques communs patrouillent dans les eaux glacées. En 1890, Israël Russell a exploré la région de la baie de Yakutat et du glacier Hubbard, lui donnant le nom de Gardiner G. Hubbard, un financier de son expédition et un fondateur et le premier président de la National Geographic Society. VOIR LES CROISIÈRES

As the gatekeepers to the northern entrance of the fabled Inside Passage, the remote Inian Islands stand between Cross Sound and Icy Strait, exposed to the high energy seas of the Pacific Ocean. Tidal currents surging through the narrow channels separating the islands can be severe. Nicknames like ‘The Laundry Chute’ justify their notorious reputations. For millennia, Tlingit people came here to hunt and fish in the rich bounty that these waters provided. Today, the Inian Islands Institute, located within the islands, provides access to the abundant and protected waters for scientific research. Sitka black-tailed deer and brown bears frequent their rugged and rocky shores, while sea lions fill their stomachs with salmon before hauling out to rest on the many rocky outcrops making up this island group. Sea otters, bald eagles, and humpback whales frequent the area in great numbers during the summer months. The Inian Islands were named by William Healey Dall, one of Alaska’s earliest scientific explorers, in 1879.

Icy Strait Point is a unique community on Chichagof Island near the entry to Glacier Bay National Park. It was created and is owned by a corporation of over 1300 Native Americans of various local Tlingit tribes, for the purpose of offering visitors an enjoyable, educational experience of Alaska’s native cultures, as well as the human and natural history of the region. Your tender will dock at the historic 1912 salmon canning facility, which today is a museum. The surrounding grounds offer cultural performances, Native American-owned shops and galleries, restaurants and a variety of tours and excursions for every interest from sport fishing to whale watching, guided nature walks and excursions to view bears and other wildlife, ATV tours and even a zipline adventure that is said to be the longest (over a mile) and highest (over 1330 feet of drop) in North America. The small village of Hoonah is just over a mile away, and can be reached either by walking or on a shuttle. It also has shops and eateries, as well as a totem-carving enterprise run by the corporation. The Huna Totem Corporation maintains complete control of the content and access to the community, which has won a number of prestigious awards for its sustainable approach to exploiting the natural and historical heritage of Alaska and its native peoples for their benefit. VIEW CRUISES

Tucked in along the shores of the longest fjord in North America and surrounded by breathtaking scenery, Haines is an authentic Alaskan experience. It is an eclectic community and a truly hidden gem. Its rich culture shines brightly during the annual state fair that draws people from all over Alaska. Haines is home to the largest concentration of bald eagles on earth, and grizzly bears gorge themselves on spawning salmon in its rivers. It was originally named Dteshuh, which means ‘end of the trail’ in the language of the Chilkat natives, who used to portage across the peninsula to Chilkat Inlet as a shortcut to their trade route to the interior. The first Europeans arrived in 1879 to build a school and a Presbyterian mission. In time, the mission was renamed Haines in honor of Francina E. Haines, the chairwoman of the committee that raised funds for its construction. Haines grew dramatically during the 1899 Klondike gold rush in the Yukon, supplying prospectors with food and equipment. VIEW CRUISES

Le canal de Lynn est un bras de mer de 145 km de long sur la côte de l’Alaska, qui s’étend de la rivière Chilkat au nord jusqu’au détroit de Chatham et au passage Stephens au sud. Parce qu’il relie les villes de Skagway et Haines à Juneau et au reste de l’Inside Passage, il constitue une voie de navigation importante pour les ferries, les cargos et les bateaux de croisière. Il a également été un passage crucial vers les champs aurifères du Klondike pendant la ruée vers l’or. Il a été découvert par Joseph Whidbey en 1794 et nommé par George Vancouver d’après son lieu de naissance, King’s Lynn dans le Norfolk, en Angleterre. D’une profondeur de plus de 610 mètres, c’est l’un des fjords les plus profonds et les plus longs du monde, et le plus profond d’Amérique du Nord en dehors du Groenland.

Juneau, Alaska’s capital, is accessible only by air and sea, due to the rugged mountain terrain that surrounds the city. It has been a world-class travel destination since the early 1900’s. The city has plenty to offer the outdoor adventurer. You may choose to explore on foot along the Perseverance Trail or around Mendenhall Glacier, or board one of the many local whale-watching boats, or view the mountains and extensive glaciers of the Juneau Icefield from a helicopter. Although founded by Alaskan pioneers, this area was in use for thousands of years by the Tlingit people and was originally settled by the Auke tribe, taking advantage of the abundant food and natural resources provided by the land and sea. Their descendants continue to gather clams, gumboot chitons, grass and sea urchins to this day. Originally named Harrisburg in 1880, after the gold prospector Richard Harris, the name was later changed to honor his partner Joe Juneau. VIEW CRUISES

Designated as an International World Heritage Site in 1992, Glacier Bay is also a National Monument, a National Park and a designated Biosphere Reserve. Over millennia, Glacier Bay has experienced many major advances of its glaciers. When first surveyed in 1794 by a team under the command of British captain George Vancouver on HMS Discovery, its vast glaciers extended well beyond present-day margins of the bay. Temperate, coniferous rainforest dominates its southern shores. Black and brown bears, wolves, moose, eagles and ravens all go about their daily routines, while harbor seals and whales frolic within the bay waters. Glacier Bay has two major arms, East and West, and over fifty named glaciers, some of which push forward at three to six feet per day. Combined with Wrangell St. Elias National Park and Canada’s Kluane National Park and Alsek-Tatshenshini Park, Glacier Bay encompasses the largest protected wilderness area on earth. This is a truly a place of awe-inspiring beauty and an icon of wild Alaska. VIEW CRUISES Skip Footer Content About Us

L’un des tronçons les plus rectilignes de l’Inside Passage est le Stephens Passage, juste au sud de Juneau, un chenal de 169 km entre des sommets de 1524 mètres qui traverse l’archipel Alexander entre l’île Admiralty à l’ouest et le continent et l’île Douglas à l’est. C’est un endroit où il fait bon être sur le pont, car l’île Admiralty compte plus d’ours que d’habitants, et les forêts d’épicéas et de pruches descendent jusqu’à l’eau. Le passage est généralement considéré comme l’une des meilleures zones d’observation des baleines en Alaska. Il abrite également de nombreuses populations d’énormes lions de mer de Steller, ainsi que des volées de goélands et de guillemots qui s’agitent dans les airs lorsque le navire passe. Le passage a été nommé par George Vancouver en 1794, après avoir été cartographié par Joseph Whidbey.

Le passage Decision est l’extrémité ouest du détroit de Sumner, qui traverse l’archipel Alexander pour se jeter dans l’océan Pacifique au sud-est de l’Alaska. Il est délimité au nord par l’île Kuiu et le cap Decision, où se trouve un phare datant de 1932. C’est la route qu’emprunte votre navire en provenance ou à destination de la ville historique et colorée de Sitka, sur la côte ouest de l’île Baranof, qui était à l’origine la ville forteresse russe de New Archangel.

L’île de Wrangell, l’une des milliers d’îles de l’archipel d’Alexandre, est située au cœur de la forêt tropicale nationale de Tongass et reçoit environ 203 cm de pluie par an. La ville de Wrangell, véritable ville frontalière de l’Alaska, se trouve à l’extrémité nord de l’île, à une courte distance de l’embouchure de la puissante rivière Stikine. L’histoire de Wrangell est profondément ancrée dans le peuple Tlingit, le commerce des fourrures et la ruée vers l’or. La route commerciale de la rivière Stikine a amené le peuple Tlingit ici il y a des milliers d’années, comme en témoignent les quelque quarante pétroglyphes du site historique d’État de Petroglyph Beach et du parc Totem. La rivière Stikine, le glacier Shakes et l’observatoire des ours d’Anan Creek sont les points forts de la région. Anan Creek s’enorgueillit de la plus grande montaison de saumons roses du Passage intérieur, attirant en grand nombre des ours bruns et noirs. Wrangell a été nommé en l’honneur de Ferdinand Petrovich Wrangel, un explorateur russe et administrateur de la Compagnie russo-américaine au milieu des années 1800.

Le détroit de Stikine est un chenal pittoresque situé dans l’archipel Alexandre, en Alaska, entre l’île Zarembo et les îles Woronkofski et Etolin, près de l’embouchure de la rivière Stikine, au sud de Wrangell. Il apparaît pour la première fois sur une carte russe de 1848 sous le nom de Stakhin Strait et a été orthographié différemment sur de nombreuses cartes depuis lors.

Le canal Behm, long de 174 km, part du détroit de Clarence, traverse l’archipel d’Alexandre dans le sud-est de l’Alaska et se jette dans le canal qui sépare l’île de Revillagigedo du continent. Il fait partie du Passage intérieur sur la route entre Ketchikan et le Monument national des fjords brumeux. Le canal a reçu son nom de George Vancouver lors de son expédition d’arpentage en 1793, en l’honneur de Magnus von Behm, qui avait été gouverneur du Kamtchatka dans l’Extrême-Orient russe lorsque Vancouver a fait escale à Petropavlovsk avec l’expédition du capitaine Cook après l’assassinat de ce dernier à Hawaii.

Scottish-American naturalist John Muir compared the 2,294,343-acre (930,000 hectare) Misty Fjords National Monument to his favorite place in America, Yosemite National Park. Often shrouded in mist, Misty Fjords is a true wilderness. Its vertical granite cliffs, which reach 3,000’ (900 m) above sea level, descend another 1,000’ (300 m) below the water’s surface. Carved by glaciers and covered in a green carpet of mosses and lichens, Misty Fjords receives more than 150” (381 cm) of rain per year. Western hemlock, Sitka spruce, and western red cedar dominate the prolific vegetation along its shore. Mountain goats, brown and black bears, coastal wolves, sea lions, bald eagles, ravens, Dall’s porpoises, orca and humpback whales can be spotted along its shorelines and throughout its waters. Long before the arrival of John Muir, the Tlingit people lived and moved throughout this region, surviving on what the land provided. Evidence of their historic and ongoing presence is recorded in the many pictographs found along the shores of Misty Fjords.

Le Misty Fjords National Monument est une section de la forêt nationale de Tongass dans l’extrême sud-est de la région de Panhandle en Alaska. Le monument comprend plus de deux millions d’acres de fjords profondément découpés, bercés dans des vallées en forme de U entre des chaînes de montagnes s’élevant de 610 à 915 mètres au-dessus du niveau de la mer. Les fjords eux-mêmes s’étendent jusqu’à 305 mètres sous la surface. Ces chaînes granitiques sont couvertes de forêts vierges et la majeure partie du monument est également une zone de nature sauvage. Les fjords brumeux ont inspiré l’explorateur John Muir, qui les a proclamés parmi les plus beaux endroits qu’il ait jamais vus. Votre navire naviguera parmi ces forêts, chutes d’eau et montagnes spectaculaires. L’équipe Ventures by Seabourn à bord vous proposera des excursions facultatives, notamment du kayak dans les fjords et un court vol touristique en hydravion.

Prince Rupert, situé au milieu des montagnes côtières, est le point de départ pour les voyageurs qui rejoignent les ferries côtiers vers Haida Gwaii, Vancouver ou vers le nord de l’Alaska. Parmi les points forts de la ville, citons le pittoresque Cow Bay avec ses boutiques et ses restaurants, le Museum of Northern British Columbia, la maison des sculptures de totems ou les magnifiques jardins en contrebas. Prince Rupert possède certainement une faune abondante. Que vous vous joigniez à un bateau local pour observer les baleines, que vous fassiez une randonnée le long des rapides de Butze ou que vous preniez un vol panoramique, vous serez certainement satisfait. La région abrite la plus grande concentration de grizzlis d’Amérique du Nord. Le Khutzeymateen Grizzly Bear Sanctuary, créé en 1994, a été la première zone au Canada à être protégée spécifiquement pour les grizzlis et leur habitat. Fondée en 1910, la ville a été nommée en l’honneur de Prince Rupert, qui était gouverneur de la Compagnie de la Baie d’Hudson en 1670. Prince Rupert est le terminus nord du chemin de fer Canadien National et un port important pour les marchandises en direction de l’Alaska. CROISIÈRES DE VUE

Grenville Channel est un long chenal bien protégé le long de la côte nord de la Colombie-Britannique, entre la grande île Pitt et le continent. Il s’agit d’une voie de navigation importante, et vous êtes susceptible de voir des navires de différents types et tailles lors de votre passage. Les côtes sont montagneuses des deux côtés, avec deux sommets remarquables à mi-chemin, le mont Batchellor à l’est et le mont Saunders sur l’île Pitt à l’ouest. Il existe un certain nombre de réserves indiennes et de parcs marins dans les montagnes et d’étroites voies navigables au large du chenal.

Whale Channel est une voie navigable pittoresque qui sépare l’île Gil de l’île Princess Royal dans le passage intérieur de la Colombie-Britannique. Entouré de chaînes de montagnes enneigées et regorgeant de vie marine, il s’agit d’un détournement de la principale voie de navigation, situé à peu près à mi-chemin entre Prince Rupert et le village des Premières nations de Klemtu. VOIR LES CROISIÈRES Sauter le contenu du bas de page À propos de Misty Fjords

Le canal Princess Royal sépare la plus grande île de la côte de la Colombie-Britannique du continent. Elle est située à peu près à mi-chemin entre Bella Bella au sud et Prince Rupert au nord, dans l’une des régions les plus reculées de la province. L’île Princess Royal a été nommée en 1788 par le capitaine Charles Duncan, en l’honneur de son navire, le Princess Royal. L’île est inhabitée, bien qu’il y ait deux petits villages dans le chenal, la communauté des Premières nations de Klemtu sur l’île Swindle et Hartley Bay sur le continent. En revanche, la faune est abondante : ours kermode, noir et grizzly, cerfs, loups et renards. L’aigle royal et l’aigle à tête blanche nichent dans la région, de même que le guillemot marbré, une espèce menacée. Dans les eaux, on trouve des saumons en abondance, des éléphants de mer, des baleines, des orques et des dauphins.

Située sur la ceinture volcanique d’Alert Bay, aujourd’hui en sommeil, île Cormorant abrite la plus ancienne communauté du nord de l’île de Vancouver, la petite ville d’Alert Bay. Elle est située sur le territoire traditionnel de la Première nation Kwakwaka’wakw et est aujourd’hui un mélange de culture autochtone et de culture de pionniers. Une promenade le long des rives de cette minuscule île de 1,8 km² vous étonnera par son histoire, ses paysages spectaculaires et sa faune abondante. Les vestiges de son ancienne usine de salage du poisson datant des années 1800 sont toujours présents le long du port. Le centre culturel U’mista est le plus ancien musée des Premières nations du Canada et abrite la célèbre collection Potlach. Cette collection d’insignes cérémoniels a été confisquée pour être conservée par les autorités canadiennes en 1922, et a finalement été rendue à la communauté dans les années 1980. Des oiseaux de mer, des rorquals à bosse, des orques, des baleines grises, des otaries et des dauphins à flancs blancs sont tous présents dans les eaux environnantes. Alert Bay a été nommée en 1860 en l’honneur du navire de la Royal Navy HMS Alert qui a mené des opérations de surveillance dans la région et aux alentours.

Le détroit de Johnstone est une route maritime bien protégée qui longe la côte nord-est de l’île de Vancouver sur 68 miles/110 km, entre l’île et la partie continentale de la Colombie-Britannique. Le détroit mesure entre 2,5 km et 5 km de large, et mène du large détroit de Géorgie à travers un canal étroit appelé Discovery Passage (passage de la découverte). Le détroit a été nommé par Vancouver en 1792 en l’honneur de James Johnstone, le capitaine de l’une de ses annexes lors de l’expédition qui a révélé que l’île de Vancouver était une île. Il n’y a ni ville ni village dans le détroit. Le détroit de Johnstone est l’aire de répartition estivale d’un grand groupe d’orques qui résident de façon saisonnière et que l’on voit fréquemment dans la région. VOIR LES CROISIÈRES Sauter le contenu du bas de page A propos de nous Notre entreprise Nouvelles Carrières Nous contacter Galerie vidéo Accessibilité Seabourn Club Programme de parrainage Seabourn Ressources de voyage

Le goulet de Seymour est un tronçon de 3 miles/5 km du Discovery Channel au nord de l’île de Vancouver, en Colombie-Britannique, qui est réputé pour la force des courants de marée qui le traversent. La largeur moyenne du goulet n’est que de 750 mètres. Lors des marées extrêmes, le courant qui traverse le goulet est soumis à un important effet Venturi, ce qui se traduit par une vitesse accrue pouvant atteindre 15 nœuds. Pendant la majeure partie de son histoire moderne, le détroit présentait un danger supplémentaire, le Ripple Rock, une obstruction peu profonde qui a coûté la vie à pas moins de 119 navires et 114 personnes. En 1958, après des mois de creusement de tunnels et de préparation, Ripple Rock a été soufflé lors de la plus grande explosion commerciale non nucléaire jamais enregistrée en Amérique du Nord. La navigation dans le goulet de Seymour dépend toujours des marées et d’autres conditions, et exige des compétences et des prouesses techniques.

The humble beginnings of the City of Vancouver, in the settlement of Gastown on Burrard Inlet, rose out of the old growth forests and the sawdust of the old Hastings Mill. Its location between the Pacific Ocean and the snow-capped coastal mountains creates one of the most idyllic settings of any city in the world. As a world-class city it has the best of both worlds, intermingling urban sophistication with a sense of wilderness and outdoor adventure. Whether you are exploring Vancouver’s diverse downtown core, strolling through the giant trees of Stanley Park or taking in the 20 miles (30 km) of uninterrupted waterfront trails along the seawall, you are bound to fall in love with Canada’s third largest metropolitan center, which is consistently ranked as one of most livable cities on earth. In 1886, the Canadian Pacific Railway reached Vancouver, completing Canada’s ‘National Dream’ of a connection between east and west, and opening up new trade routes between Asia and Europe. The city was named for British captain and explorer George Vancouver.